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20 mars 2008

GEOPOETIQUE

kennethwhite

Ce week end de Pâques je m'installe à Bécherel dans les pas de Kenneth White, qui est l'invité d'honneur de la Fête du livre de cette Cité du livre qu'est Bécherel.

Ecrivain, voyageur, poète, titulaire d'une chaire de géopoétique, discipline qu'il a fondée, Kenneth White est l'invité d'honneur de ces trois jours consacrés notamment à  l'Ecosse qui consacre la collaboration de Bécherel avec Wingtown, cité du livre également.

Le samedi 22 mars l'auteur donnera une conférence : "itinéraire d'un Franco-Ecossais",

dimanche 23 mars signature-dédicace le matin et l'après-midi, une conférence : introduction à la géopoétique

lundi 24 mars, lecture sur le thème : de l'Ecosse au monde entier.

Pour accompagner cet évènement voici quelques uns des titres que je proposerai, notamment deux revues de Cheyne éditeur où Kenneth White a signé des articles, le colloque de géopoétique qui vient d'être publié, le N° 6 des cahiers de géopoétique et aux éditions Isolato, deux ouvrages intitulés : Les Finisterres de l'esprit et Dialogue avec Deleuze.

A la demande de l'auteur, je propose également :

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et pour compléter cette liste en image, les titres suivants :

La route bleue, Le plateau de l'Albatros, Atlantica, Les limbes incandescents, et l'anthologie publiée en 2007 : Un monde ouvert.

Biographie extraite de Wikipédia

Kenneth White est un poète et penseur contemporain, né en 1936 à Glasgow. Il réside en France depuis les années 60 à Trébeurden (Bretagne). Théoricien de la « géopoétique », poétique porteuse de sens et de pensée, il alterne des récits de « voyages philosophiques » et les poésies épurées entretenant un rapport avec les éléments (mer, terre, eau, pierre…). Influencé par Henry David Thoreau, Walt Whitman, Friedrich Nietzsche, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Jack Kerouac, les haïkus et les philosophies orientales, il a pu être comparé à Gary Snyder.

Attiré par la France et par Paris (et sa bohème) depuis son tout jeune âge, il n'avait pas trente ans lorsque André Breton le salua dans un numéro de la NRF. À l'écart du cirque médiatico-éditorial, il compose pas à pas une œuvre faite de prose allègre et frondeuse, de poésie nomade, de textes volontiers théoriques. Des livres-mondes, des livres-voies. Avec certes des impasses (mais quelle œuvre n'en connaît pas), Kenneth White « fait la trace », singulière, vigoureuse, où pourrait bien se renouveler profondément notre conception parfois bien étriquée de la littérature et de la poésie. Il est le chantre de « l'intelligence sensible et de la sensibilité intelligente ».

Il aime à citer Rimbaud : « Si j'ai du goût, ce n'est que pour la terre et les pierres », pierres et galets qu'on retrouve partout dans sa maison bretonne.

Citation de Kenneth White : « Pourquoi écrire ? Pour ne pas devenir fou de cette ivresse blanche qui est le sang de l'écriture ».

Sa femme Marie-Claude est sa traductrice de l'anglais au français bien que Kenneth parle parfaitement français.

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Commentaires
G
Et dire que je vais louper parce que le week-end de pâques, c'est en famille... L'année prochaine, j'y serai
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